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description

La photo montre une silhouette sombre d’une personne se tenant dans une salle faiblement éclairée. La lumière provient principalement de la gauche, illuminant partiellement les carreaux blancs sur les murs de ce qui semble être une salle de bain. Sur le visage de la silhouette, un point lumineux vert suggère l’utilisation d’un appareil électronique. À droite, une autre source de lumière éclaire un couloir ou une pièce adjacente, révélant des motifs décoratifs sur les murs. L’ambiance générale est sombre et mystérieuse, avec des contrastes marqués entre les zones éclairées et les ombres profondes.

analyse

Techniquement, cette photo utilise un éclairage faible et des contrastes élevés pour créer une atmosphère intrigante et dramatique. Symboliquement, l’image pourrait représenter des thèmes de solitude, d’introspection ou de mystère, avec la silhouette anonyme ajoutant une dimension de l’inconnu. Historiquement, ce type de photographie est associé à des mouvements artistiques explorant l’ombre et la lumière, comme le clair-obscur, utilisés pour évoquer des émotions profondes et des réflexions personnelles.

Restes du dimanche 7 juillet 2019 ?

Autoportrait ?

Ailleurs :

Cette photographie argentique en noir et blanc, prise en novembre 1999, capture une scène animée d’une rue urbaine. Des véhicules, dont des voitures, des bus et une camionnette marquée “Police”, circulent. Les bâtiments à l’architecture classique bordent l’arrière-plan. La chaussée semble humide, suggérant une récente pluie. On distingue des feux de circulation et un panneau publicitaire. Les numéros “28A” en bas à gauche et “29” en bas à droite indiquent qu’il s’agit peut-être d’une séquence d’un film argentique.

Dans la rue ?

Cette photo montre un autoportrait dans un miroir brisé. L’artiste est visible à travers un fragment central du miroir, tenant un appareil photo Nikon dirigé vers lui-même, capturant son reflet. Le miroir est entouré de morceaux colorés en jaune, orange, rouge, et bleu, évoquant un vitrail ou une mosaïque. Les contours irréguliers des éclats de verre créent une fragmentation de la scène, tandis que la main tenant l’appareil occupe une position dominante, ajoutant une touche de mouvement et d’ombre. Techniquement, l’image utilise une faible profondeur de champ, avec un flou sur les bords colorés et une mise au point nette sur l’appareil photo et la main, ce qui guide l’œil vers le sujet principal. Symboliquement, le miroir brisé peut évoquer des thèmes de l'identité, de la multiplicité et de la perception fragmentée de soi. Cela rappelle les œuvres de photomontage et les compositions cubistes qui déconstruisent la réalité. Historiquement, l’autoportrait dans le miroir est un classique de la photographie, mais ici, l’utilisation du miroir brisé renouvelle le concept en y ajoutant une dimension introspective et poétique, rappelant les questionnements modernes sur la construction de l’image de soi.

Autoportrait dans le miroir des toilettes d'un bar ?

Autoportrait dans le miroir. Journal de novembre 1999.

Autoportrait dans le miroir.

Autoportrait dans le miroir des toilettes d'un bar. Journal du jeudi 6 février 2020.

Autoportrait dans le miroir des toilettes d'un bar.

Avec mon père dans un traiteur chinois ? Rue Lepic ? Paris 18e ?

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